Histoires de sexe et récits érotiques gay, bi et hétéro

Été 2009, j’ai 36 ans, marié, deux gosses, mais la maison est vide trois semaines : ma femme et les enfants sont partis au Portugal. Moi je bosse comme un chien sur un gros arrêt technique dans l’usine portuaire où je suis responsable maintenance. Seul le soir, je me dis que je vais profiter de la plage nord, cette langue de sable sauvage de 5 km quasi déserte, pour faire du naturisme comme avant.Lundi matin, 8 h, on m’envoie l’intérimaire que j’ai réquisitionné pour la durée [......] voir la suite

Je m’appelle Théo, 26 ans à l’époque, hétéro de façade mais bi refoulé depuis des années. Mon collègue du boulot, Enzo, 27 ans, brun un peu baraqué avec une barbe de trois jours et un regard qui te transperce, est gay et l’assume à 200 %. On s’entendait hyper bien, on déconnait tout le temps au taf, mais jamais rien de sexuel… jusqu’à ce soir-là.On parlait par message de sa rupture récente. Il était dégoûté. À un moment il balance : « Mon seul regret dans la vie, [......] voir la suite

Entre Lyon et Chambéry comme un manteau de velours noir, percé seulement par les halos orangés des lampadaires faiblards. Après la sortie 8, ce coin discret – avant Bourgoin – Pas de caméras intrusives, juste le ronron des moteurs lointains et cette chaleur thermique qui montait des corps en rut.

Moi, Léo, 38 ans, passif insatiable aux courbes souples et à la peau tatouée de désirs refoulés, j'avais posé mon cul sur un banc usé vers 21h30, jean baissé à mi-cuisses, mon trou [......] voir la suite

toujours en vadrouille pro sur la côte basque, mon dernier call se boucle sans accroc, je squatte ma suite au Novotel et file direct à la salle (Keep Cool cette fois) pour cracher mes tripes.

Dans ce coin, j'avais un fan hardcore de mes chroniques pornos sur Recon, un prétexte en or pour passer du chat torride au concret – j'avais même zappé mon itinéraire pour choper un hôtel pile dans son secteur, à deux pas des vagues de Biarritz.De minute en minute, ce taré se montait une pression [......] voir la suite

Il était pile 18 h quand je l'ai rejoint sur ce chemin de halage envahi de ronces, au crépuscule orangé qui peignait les berges de la Marne en teintes de feu. Pas de chambre d'hôtel cosy ce soir, juste ce spot discret, chargé de mystère, où les péniches rouillées murmuraient des secrets au fil de l'eau. Romain m'a fait un signe de la main depuis son pick-up cabossé, son sourire carnassier illuminant son visage buriné de 42 ans, et j'ai suivi son bolide poussiéreux jusqu'à l'embarcadère [......] voir la suite

Putain, ce qui m'a fait bander à mort, c'était cette attente fiévreuse, ce vide qui appelle le chaos. Je poireautais chez mon pote Lucas, qui venait de choper un loft immense en rez-de-chaussée d'une tour délabrée du centre-ville de Lyon, un truc des années 70 qu'il rénovait pour en faire son QG d'artiste. L'électricité devait être branchée ce midi, mais lui bossait sur un chantier à l'extérieur et m'avait supplié de gérer le technicien. J'avais forcé les volets grillagés pour [......] voir la suite

Deux ans de mariage, et Julien, mon mari, balance l’idée d’un plan à trois avec un mec. Il jouit toujours en trois secondes, me laissant frustrée, la chatte en feu. « Ok, va pour le plan », lâché-je, exaspérée. À 29 ans, 1m67, bonnet C, 53 kg, cul bombé et jambes fuselées, je sais que je fais tourner les têtes. Julien, surexcité, acquiesce comme un gamin. Vendredi, je sors l’artillerie lourde : minijupe en cuir, chemisier transparent laissant deviner mes tétons, talons aiguilles, [......] voir la suite

Ce soir d’août, l’air est lourd à Grenoble. À 22h, je traîne mes 40 ans au parc de l’Île-d’Amour, lieu de drague notoire où les ombres dansent sous les lampadaires. Mon jean moulant trahit ma queue déjà à demi-dure, excité par l’idée d’une rencontre intempestive. Ce parc, je le connais bien : il y a quelques mois, deux militaires, dont un black à la bite monstrueuse, m’ont défoncé ici, laissant mon cul béant et ma mémoire en feu. Ce soir, je veux revivre ça, en plus [......] voir la suite

Ce vendredi après-midi, à Nice, je rentre chez moi, l’estomac noué par un message troublant de ma femme, Clara. Son texto sibyllin sur notre vie intime me hante. Incapable de bosser, je file sous la douche, attrape une bière et m’affale sur le canapé. À 16h, Clara franchit la porte, visiblement surprise. « T’es déjà là ? » Je lui explique mon trouble, et elle me promet une discussion après sa douche.

Quand elle revient, en peignoir, elle s’assoit face à moi, ses yeux brillants. [......] voir la suite

Ce mercredi après-midi, dans un loft branché du centre de Marseille, je me retrouve seul avec mon grand frère, Axel, qui a prévu une soirée entre potes. La lumière tamisée du salon et l’odeur de pizza qui flotte dans l’air donnent une ambiance décontractée, mais Axel, fidèle à lui-même, me lance avec son sourire en coin :

— Élio, tu restes dans ton coin, OK ? Va geeker sur ta Play dans ta chambre, et pas de vagues avec mes potes.

À 19 ans, il me traite encore comme un gamin, [......] voir la suite