merci encore pour vos retours et vos notes !
Une mention particulière à "ericcold" qui depuis le début s'acharne à me mettre 0
Bonne lecture à vous, mes amis du réseau !
Le retour fut délicieux, calé derrière lui, laissant défiler les kilomètres. Je le tenais par la taille, n'osant aller plus loin, bien collé à lui, profitant de chaque secousse, de chaque vibration, de chaque mouvement imperceptible de son corps contre le mien. Parfois, afin qu'il ne s'interroge pas trop, je me redressais légèrement, me reculant un peu en posant mes deux mains sur ses épaules, jouissant de la sensation de sa musculature ferme sous mes paumes. Puis, incapable de résister à cette proximité enivrante, je reprenais avidement ma position initiale, nichant mon torse contre son dos, sentant la chaleur de son corps à travers le tissu fin de son tee-shirt.
À un moment, il déclara d'une voix légèrement rauque en se retournant un peu :
— Putain, je n'arrête pas de penser à Djamila ! Et ton moteur sait diablement me titiller avec ses vibrations.
Je souris, amusé et troublé à la fois.
— Je savais pas que ma moto avait des zones érogènes, lui lançai-je en rigolant par-dessus son épaule.
— La moto non, mais Djamila oui ! Et toutes ces vibrations me stimulent !
Je restai interdit un instant, perturbé par ce qu'il venait d'avouer avec une telle légèreté. Ouvrait-il une brèche volontairement ou était-ce simplement sa désinvolture naturelle qui me rendait fou ? J'osai alors, la voix un brin moqueuse pour masquer mon émoi :
— Tu vas pas me faire croire que ma moto te fait bander ?
— Oui, je te jure !
Et, sans la moindre gêne, il porte une main à son short, comme pour réajuster ce qui devait l'incommoder.
Mon cœur rata certainement un battement. Ce fut plus fort que moi. Dans un état second, emporté par une audace que je ne me connaissais pas, je passai ma main devant lui, venant m'emparer de son sexe sans la moindre résistance de sa part. Je le pressai, juste pour vérifier ses dires, juste pour savoir s'il exagérait… et il n'exagérait pas.
— Tu vois, je t'ai pas menti ! lance-t-il, Hilare.
Ma main était toujours là, et dans un mélange d'excitation et de vertige, je me surpris à le caresser légèrement, comme pour explorer plus avant cette nouvelle transgression. Mon esprit vacillait : où étions-nous en train de mettre les pieds ? Était-ce encore un jeu, une plaisanterie, ou bien venions-nous d'effacer une ligne invisible entre nous ?
— Putain oui, frère, et tu bandes sacrément…
Il ne broncha pas, se laissant faire, ce qui me fit l'effet d'un flash. Pourquoi ? Pourquoi accepter-il ce geste avec autant de désinvolture ? Était-ce encore un de ses jeux d'initiation tardive, de cette manière qu'il avait de repousser sans cesse les limites de la complicité masculine ? Mais ce qui me sidéra encore plus, ce qui m'acheva littéralement, ce fut ce qu'il fit ensuite. Tout en ne repoussant pas ma min, d'un geste spontané, et d'une aisance naturelle qui me laissa pantois, il lâcha le guidon d'une main, la passa derrière lui, et, avec une précision qui n'était pas celle d'un simple effleurement hasardeux, chercha de son côté à me jauger.
Il trouva immédiatement ce qu'il cherchait, et au lieu d'un simple contact distrait, il le pressa avec la même intention que moi.
— Ah, mon frère, on voit que tu es habitué à ta moto, elle ne te fait plus d'effet, la vieille garce ! lance-t-il en éclatant de rire.
Je restai tétanisé. Il venait de me toucher. Délibérément. De me palper, littéralement. Avec autant de naturel qu'il aurait attrapé un verre d'eau sur la table. J'étais incapable de réagir, incapable de déterminer ce qu'il voulait vraiment. Testait-il quelque chose en moi ? Ou bien se riait-il simplement de mes hésitations, conscient que je nageais en pleine confusion ? Et ma main touchait toujours son sexe !
Mais avant que je ne puisse approfondir ce vertige, il reprit une voix plus sérieuse, me ramenant brutalement à la triste réalité :
— Arrête frère, tu vas finir par me faire jouir ! Et je veux tout garder pour Djamila. Ça te dit d'y passer en rentrant ? On a encore le temps ?
J'en profitai pour laisser encore quelques malheureuses mais précieuses secondes ma main en place, incapable de lâcher prise, jouissant en silence de cette audace qui venait d'être la nôtre. Mais il fallait bien se résigner. Tout ça n'était qu'un jeu pour lui. Un jeu dangereux, insensé, mais dont je ne voulais surtout pas voir la fin. À contrecœur, je retirai lentement ma main, me redressai légèrement, déposais mes paumes sur ses épaules comme pour retrouver un semblant d'équilibre, et glissai à son oreille :
— Mais tu es inépuisable, frère !
— Alors ? On y va ?
— Allez, on y va !
— Super !
Et, dans un élan d'excitation euphorique, il ouvrait brutalement les gaz, propulsant la moto à pleine puissance, comme si cette énergie bouillonnante en lui ne demandait qu'à exploser.
Nous arrivâmes assez tard dans l'après-midi, couverts de poussière et de sueur, nos vêtements marqués par la route. Le soleil commençait à descendre doucement sur l'horizon, projetant une lumière dorée sur la façade du hammam, où nous fumes immédiatement accueillis par le patron, toujours aussi affable et empressé.
— Ah, mes amis ! Quel plaisir de vous revoir ! Vous êtes bien courageux de sillonner nos routes sous cette chaleur… Mais regardez-vous ! Vous êtes recouverts de poussière, vous allez me salir mon beau salon ! plaisanta-t-il en nous observant avec son œil pétillant. Son sourire s'élargit en nous détaillant des pieds à la tête. Il n'avait pas besoin de nous demander ce que nous venions chercher. Il le supputait. Et il était ravi de voir que nous étions devenus, en quelque sorte, des habitués.
— Venez, venez, commençons par les douches, vous en avez bien besoin avant toute chose ! Vous allez voir, l'eau est fraîche, revigorante, de quoi vous remettre d'aplomb après cette longue virée !
Nous le suivîmes dans l'arrière-salle où se trouvaient les douches, laissant derrière nous la chaleur étouffante de la rue pour pénétrer dans la fraîcheur tamisée du hammam.
Alors que nous nous débarrassions de nos vestes et chaussures, le patron reprit, son ton mielleux retrouvant toute sa subtilité :
— Et bien sûr, un bon massage après une journée pareille, c'est indispensable ! Monsieur Peter souhaiterait-il retrouver les mains expertes de Djamila ? Elle est justement libre, comme par un heureux hasard !
J'observai du coin de l'œil Peter qui, déjà nu, afficha un sourire éclatant.
— Ah ! J'aurais été bien triste de ne pas la voir ! Bien sûr que je veux son massage ! lance-t-il dans un rire franc.
Le patron rejoignit ses deux mains, ravi.
— Excellent, excellent ! Elle sera aux petits soins pour vous, comme toujours.
Puis, se tournant vers moi, il baissa légèrement la voix, prenant un air plus conspirateur.
— Et vous, cher Monsieur ? Acceptez-vous une petite nouveauté ? Il se trouve que nous avons une toute nouvelle masseuse… Une débutante, certes, mais qui connaît déjà bien son métier. Je suis sûr qu'elle vous plaira…
Je m’étonnais, un sourire en coin.
— Une débutante ?
Il s'inclina légèrement, toujours aussi obséquieux.
— Je n'offrirais jamais à un client fidèle un service qui ne serait pas à la hauteur de ses attentes… Elle est prometteuse, je vous l'assure.
Je restais un instant pensif, scrutant son expression, cherchant à deviner ce qu'il me réservait encore comme petite surprise. Mais après tout, j'étais venu pour me détendre, et la curiosité l'emporta.
— Très bien… J'accepte. On va voir ce que vaut votre débutante.
Le patron s'inclina, soulagé et satisfait.
— Parfait, parfait ! Vous allez passer un moment exquis, croyez-moi.
Puis, dans un geste théâtral, il nous i ...
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