Dans la moiteur luxurieuse du sauna, je montais à l'étage pour pénétrer dans les ténèbres du Donjon. En haut, c'est sûr, il y aurait de l'action. Je dénouais la minuscule serviette autour de ma taille et gravissais nu les marches une par une avec une lenteur calculée en roulant du cul pour aguicher un maximum de loups.
En haut, un mec viril dans un fauteuil crapaud se faisait sucé par un gros Daddy soumis. Sur la gauche, une meute de mâles Alpha était attroupé autour des slings (sorte de hamac en cuir suspendu au plafond par des chaînes). Une loppe d'une quarantaine d'années se faisait mettre à la chaîne les quatre fers en l'air. Me mettant sur la pointe des pieds, j'assistais subjugué à ce lynchage sexuel par dessus les épaules des spectateurs du premier rang.
Un frôlement sur mes fesses me fit détourner les yeux. Une de mes anciennes connaissances, un mâture à la barbe poivre et sel venait au de me reconnaître:
"_Salut toi! Comment tu vas?
_Bien, merci.
Sa main entoura ma queue et commença à me branler doucement.
_Tu voudrais le baiser toi aussi ? Me demanda t-il en m'indiquant du coin de l'œil la chienne qui se faisait fourrer à la queue leu-leu.
Un râlement de satisfaction retenti, un mec venait de se soulager dans le cul en libre service et laissait sa place à un autre. Ma connaissance coupa court à notre conversion et prit la place vacante.
Excité par cette débauche de coups de bites, je fis le tour derrière les curieux jusqu'au sling d'à côté qui n'était séparé que pas un filet en cordelettes, me permettant toujours d'assister au cette beuverie sexuelle. Je m'installais confortablement dans cette balancelle Bdsm en écartant les cuisses, les pieds et les mains aux quatre coins de la toile en peau, offert à celui qui voudrait bien se donner la peine.
L'effet fût immédiat, les voyeurs se détournèrent de leur proie pour venir autour de moi la queue à la main. Un mec badasse, sec et nerveux, fendit la foule pour se présenter face à moi. Mais au lieu de me monter dessus directement, il me demanda si je ne préférais pas l'accompagner seul à seul dans un endroit plus intime. Sa pine massive et noueuse me donnaient trop envie! Ni une, ni deux, je sautais hors du hamac avant de me faire sauter par la horde sauvage et le suivi en bas.
Une fois tranquille dans une cabine, le type au look de bad boy me caressa le visage avant de m'embrasser.
"_Tu es vraiment adorable. Merci d'être venu avec moi. Je sais pas si j'aurais pu devant tout ces gars et je voulais profiter pleinement de toi.
_Merci, c'est gentil. Toi aussi, tu es beau et j'adore tes tatouages." Son corps, en plus d'être peint à l'encre de chine, était paré de piercings aux niveaux de ses tétons, du nombril, du nez, et des oreilles. Après l'avoir longuement embrassé, je m'asseyais sur la banquette et commençais à la sucer. Son sexe gonflé et veineux réagissait parfaitement à mes caresses buccales.
"_Putain, comment tu suces ! Elle est trop bonne ta bouche !
_Tu l'aimes ma bouche à pipe?
_Oh, oui tu es un bon suceur, continu comme ça."
Après l'avoir mis dans les meilleures dispositions, il me demanda de m'allonger. Qu'il allait me prendre maintenant. J'écartais les cuisses, attendant qu'il mette sa capote, mon œillet plissé près à le recevoir. Un petit sniff de poppers pour me détendre. Un peu de gel pour faciliter le passage. Pas de doute, il savait y faire. Avec tout ses préparatifs, son calibre boursouflé de testostérone s’enfonça en moi comme une lettre à la poste. Nous nous accouplions avec autant de bestialité que de délicatesse. Quoi qu'on en dise, rien n'est plus viril que deux mecs qui baisent ensemble. Au bout d'un moment, il se retira et enfonça ses doigts dans mon intérieur. Combien en avait-il mis ? Il tournait, se retirait subitement avant de replonger dedans. A chaque assaut, il allait plus loin. Mon entrée s'élargissait de plus en plus. Il continua en me badigeonnant d'huile pendant que je perdais pied sous l'effet du poppers et de ce qu'il me faisait subir.
"_Vas-y pousse, maintenant !"
C'est ce que je fis de toute mes forces comme lors d'un accouchement en dilatant mes entrailles, m'ouvrant l'anus comme une fleur. Et là, il s’enfonça jusqu'au phalange provocant une jouissance prostatique qui me terrassa dans un hurlement d'extase. Pas le temps de récupérer, il replanta sa queue dans mon derrière et recommença à me sodomiser. Les yeux révulsés, le corps tremblant, je continuais à braire comme un veau sans me préoccuper de la gêne que j'aurais pu provoquer pour autrui. Nouveau relais entre sa bite et sa main dans mon cul outragé. 
"_Je vais te mettre toute ma main !"
Je voulais lui répondre que non, qu'il arrête, que je n'en pouvais plus! Mais je n'arrivais même plus à aligner deux mots. Les seuls sons qui sortaient de ma gorge était des râlements incoercibles, extatiques.
"_Tu es un peu serré mais je vais y arriver. Vas-y, salope, pousse encore!
_oh, mon dieu !
_On y est presque ! Pousse!
_Ah!"
Des borborygmes grondaient dans mes entrailles. Des jappements d'air s'échappait de mon petit volcan en effusion sans que je puisse les contenir. Mon anus était tellement ouvert que je n'avais plus de contrôle sur lui, mon périné était hors service. Comme une génitrice mettant bas, mon col était complètement dilaté et mes contractions étaient aussi fréquentes qu'intenses.
Malgré tout,l'abnégation ne finit pas toujours par payer. J'étais encore trop serré malgré sa façon de me façonner le rectum comme un potier. Mais surtout, il n'avait pas voulu me faire mal en n'allant pas au delà de mes limites. Voulant avant tout me donner du plaisir sans me détruire. Même si il avait été malmené, mon anus ne ressemblerait pas à une rose éclose, pas encore du moins. Il me faudrait encore plus de pratique pour atteindre un tel niveau dilatation. Après ce dernier essai, il se finit en m'enculant un derrière fois. Je sentais à peine sa queue en moi à présent. Bientôt, je serais prêt pour le fist final...
Après avoir récupéré un peu et nous avoir dit au revoir. Je sortis pour prendre un verre au bar avant de repartir. Mon ventre se mit alors à gronder comme un ours dans sa grotte et un spasme me poignarda l'estomac. Je dû m'appuyer contre le mur avant de poursuivre mon chemin. Lorsqu'un type aux aguets m'aborda:
"_salut, ça va ?
_oui, c'est rien, merci.
_c'est toi qui beuglait comme ça dans la cabine ?"
Honteux d'être démasqué, je baissais les yeux, en rougissant comme un enfant prit en faute.
"_Euh, oui. Désolé.
_Ça nous as bien chauffé, mes potes et moi. Ça te dirait de les rencontrer ?
_Euh, oui pourquoi pas.
_Tu n'as qu'à m'attendre ici. Je vais les chercher. OK?
_OK."
Je le v ...

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