Avant notre départ en vacances, mon mari Louis très coquin lui aussi, m’a dit qu’il aimerait bien essayer au lieu libertin au Portugal. Nous avons alors décidé d’aller dans un club ou un sauna libertin, histoire de voir la différence avec ce que nous connaissons déjà. Direction le MISTIK Sauna Club de Porto. Robe d’été légère et sans aucun dessous, je n’en porte jamais. Prix d’entrée 20 € pour les couples. Après le vestiaire, rapidement nous déambulons dans les couloirs à la recherche du jacuzzi. Là mon homme me dit, je te laisse seule, je vais faire le tour de mon côté.

Arrivée à la partie humide, seulement trois personnes. Un couple et l’homme que j’ai croisé dans le vestiaire. Je m’installe dans l’eau chaude après avoir déposé la serviette sur un tabouret. Le couple discute doucement entre eux, tandis que l’homme m’observe discrètement. Pour le moment je profite du calme et mon corps se détend progressivement aidé par les remous de l’eau. Je ferme les yeux et me laisse bercer par mon bien être. Mes pensées vagabondent. Je fini par ouvrir les yeux. Le couple en face de moi, s’embrasse et j’imagine que leurs mains cachées par les bulles glissent sur le corps de l’un et l’autre. Un homme fini par m’aborder poliment et engage la conversation. Il n’a aucun geste déplacé et reste à une distance respectable. Il se présente comme un habitué des lieux, il s’appelle Alberto. Il est italien et parle d’un français très moyen mais compréhensible, le regard noir et des cheveux tirant doucement vers le poivre et sel. Le contact passe plutôt bien, il est agréable à la conversation. Il me demande mes motivations à venir ici et bien sûr mes attentes.

Je lui explique, que je suis marié et que mon coquin de mari, m’autorise le temps d’une nuit à jouer les libertines. Il comprend et se propose d’être un partenaire de jeux et être mon gardien d’une nuit. Je dois dire que son attitude protectrice me plait, me rassure et que cela m’excite beaucoup. Durant notre conversation il s’est rapproché et délicatement je sens sa main venir prendre contact avec ma cuisse. Sa main est remontée doucement vers mon ventre, puis vers le galbe de mes seins. Je le sens déjà palper et malaxer ma poitrine. D’une voix doucement et sur d’elle, il me demande si cela me plait ? pour toute réponse je viens au contact de son sexe sous l’eau. Il est dure et de belle taille. Je me laisse prendre aux jeux de caresses. Cela m’excite beaucoup. Ces mains jouent sur moi doucement. Mes tétons sont doucement stimulés. Il les fait tourner entre deux doigts, tire dessus. Je soupire de plaisir. Sa bouche vient mourir sur mon coup. Je frissonne. Mon corps se réveille, appel et désire s’épanouir dans le plaisir. La coquine en moi s’éveille de plus en plus au rythme des vas et viens de ma main sur sa hampe dressée. Je m’abandonne à sa bouche qui vient sucer mes seins dressés, alors que sa main entre mes cuisses ouvertes lui donne accès à mon clitoris gorgé de plaisir. Je gémis et cela l’incite à poursuivre son investigation de mon anatomie.
Alberto : « ça te plait ? » - Moi : « hum oui beaucoup ».
Alberto : « sortons de l’eau pour continuer notre jeu ? » - Moi : « avec plaisir, j’ai envie de m’abandonner à toi. »

Depuis notre arrivée, il y à d’autres couples, mais aussi des hommes seuls de tous âges et corpulences.

Alberto : « prête à t’abandonner petite coquine ? » - Moi : « hum oui, mon homme adore que sois coquine. »
Alberto : « je le comprend parfaitement. Il aurait tort de pas en profiter d’ailleurs. » - Moi : « il en profite et en abuse même. Et je dois dire que je me laisse aller de plus en plus à ses envies débridées voir très débridées. »
Alberto : « alors il ne faut pas le décevoir ! Viens, je vais te faire passer une soirée mémorable. Si tu es d’accord je vais être plus directif. Cela te convient ? » - Moi : « hoo grand coquin, cela me plait déjà. Je t’ai dit mes limites alors vas-y. Je veux être une vraie coquine ce soir. »
Alberto : « d’accord, avec grand plaisir. Une dernière chose si tu veux avant que l’on commence. » - Moi : « je t’écoute. »
Alberto : « à tout moment, tu peux dire stop. Il faut que tu puisses vivre cette expérience pleinement et sans contrainte. Mais sache que je suis un homme très très vicieux, si tu vois ce que je veux dire ? » - Moi : « arrêtes ! Tu m’excites déjà. Je veux être aussi très cochonne ce soir et je sais que cela va plaire à mon homme… »

Il me conduit dans un dédale de couloir, je sens autour de moi, le désir et l’envie des personnes autour de nous. Les hommes seuls suivent à bonne distance. Alberto me fait rentrer dans un coin câlin. La pièce est petite. Un lit est collé contre une cloison ajourée de trou. Sur le mur est inscrit « glory hole ». En face il y a une vitre teintée pour les voyeurs de passage. Sur le côté du lit, un petit panier rempli de préservatif et de lubrifiant posé sur un tabouret. Refermant la porte derrière lui. Il vient se coller contre moi.
Alberto : « le thème de la pièce te convient-il ? » - Moi : « ho que oui, j’en ai souvent rêvé et fantasmé. »
Alberto : « alors j’ai bien choisi coquine. »

La façon de me dire coquine m’émoustille au plus haut point. Je me sens déjà envahi par l’envie d’être l’objet de plaisir et aussi du sien. Il me fait allonger sur le lit. Ma serviette sous moi, il vient embrasser mes seins. Nous sommes plus dans le jacuzzi à se caresser, doucement. Là sa bouche est plus active. Je sens qu’il aspire mon téton, le tète et mordille doucement la pointe de mes seins, m’arrachant mes premiers gémissements d’abandons. Ses mains prennent maintenant possession de mon corps offert. Agrippant mes hanches pour les soulever et me positionner pour lui laisser libre accès à mes zones érogènes. Mon sexe est caressé, je sens déjà ses doigts investir mon antre de plaisir. Je gémis de plus en plus. Mon corps se cambre au moment où la bouche de Alberto vient boire mon sexe détrempé. Mes deux mains sur sa tête, mon bassin ondulant sur sa bouche et ses doigts m’arrachent des cris de plaisir. Mon corps et mon esprit ne répondent plus qu’à l’appel du plaisir. Je le veux. Je veux son sexe. Je veux du sexe pour du sexe.

Alberto accentue de plus en plus ses caresses. Je le sens jouer avec mon sexe et déjà trois doigts en moi me font halter de plaisir. Je suis au bord de l’orgasme lorsqu’il s’arrête. Je suis frustré. Il connait trop bien les femmes. Il se redresse, et après avoir dérouler un préservatif sur sa tige, je me jette sur son membre. Ma bouche vient le sucer alors que ma main masturbe son pieu. Je ne me reconnais plus. Je le suce du mieux que je peux. Je veux le rendre dingue comme il vient de me le faire. Ma langue tourne autour de son gland violacé. J’aspire et avale le plus possible son membre. L’entendre gémir m’excite de plus en plus. Je sens ses mains sur ma tête. J’adore cela. Je me soumets à la pression de ses bras sur ma nuque.

Alberto : « putain, tu suces bien. Ta bouche est vraiment bonne » Je me sens flatté et mon égo me pousse à continuer à être plus vicieuse. Je viens faire glisser ma langue sur le long de son membre. Je descends jusqu’à ses bourses. Je lui gobe, suce et lèche encore et encore. Pour remonter et reprendre son sexe en bouche le plus profondément possible.
Alberto : « waou, que c’est bon. Tu m’excites. Continues ! caresses toi les seins en même temps. Montre-moi comment tu te donnes du plaisir ! »
Moi : « hum j’adore sucer. Hum ouiii je vais être une vraie coquine très cochonne. Prends-moi ! »
Alberto : « je vais te prendre mais avant suce moi encore, branle toi en même temps que je vois comme tu aimes ça !! »

Les mots de Alberto deviennent de plus en plus bruts et directifs. Mon côté soumise prend le dessus et reprenant ma fellation, je fais glisser ma deuxième main sur mes seins. Ma main progresse vers mon sexe. J’écarte outrageusement mes jambes pour offrir à mon clitoris des caresses de plus en plus appuyées.
Alberto : « j’en peux plus, tu m’excites trop. Mets-toi en levrette sur le lit, je vais te culbuter comme ça. Ça va te plaire ! »
Moi : « oui prends moi, culbute moi fort ! »
Se plaçant derrière moi, je sens son sexe trouver le chemin de mon puit de plaisir. Je ne contrôle plus rien. Je le veux, je veux le sentir et me prendre. Son sexe planté au plus loin après une seule et unique poussée m’arrache un cri de plaisir non dissimulé. Agrippant mes hanches avec ses larges mains, j’accueille ces vas et viens comme une délivrance à mon plaisir. Il me culbute avec force et vigueur. Ma poitrine ondule à un rythme effréné. Je cris, gémis, l’appel. Je me reconnais plus.

Moi : « ouii Alberto c’est bon ! continues ! Ouii haaa je te sens bien ! »
Alberto : « oui c’est bon, ta chatte est délicieuse ! Humm prends ça oui haa ouii prends la bien ! »
Moi : « ouiii haaa plus fort ouiii plus fort, baise-moi ! Baise-moi ! »Les mots sont sortis tout seul. Je suis chienne se soir. Je veux être prise comme une chienne. De longues minutes s’écoulent. Les assauts de Alberto sur ma croupe tendue m’excitent. Je viens même pousser les vices à me caresser les seins ou le clito pour accompagner notre plaisir.

Alberto finit par ralentir le rythme. Je reprends doucement mon souffle et je suppose que lui aussi. Je me redresse. Son sexe est toujours planté en moi. Sa bouche et son souffle haletant dans mon coup me plaisent. L’une de ses mains empoig ...

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