Depuis plusieurs semaines, j'avais averti un de mes coquins adorés que j'allais partir comme tous les ans dans ma résidence secondaire pour l'été, très bientôt et que je remonterai à mon habitation d'hiver que quelques mois après pour passer la saison de l'hiver tranquillement . Et alors, avec bonheur, il m'avertissait qu'il ferait tout pour qu'on puisse se revoir avant que je parte et surtout pour me faire l'amour comme il sait si bien le faire. Alors mon coeur allait s'emballer comme toujours, à chaque fois que j'ai un de ses messages. Et donc en début de semaine, il m'avertissait qu'il pourrait se libérer en ce jeudi. Je ne pouvais qu'être ravi et je lui confirmais donc que c'était OK pour moi. Je lui précisais que je partirai de chez moi vers 13H30 pour donner le change à mon excuse, sachant qu'il préférerait que je le retrouve que vers 15H. Mais oh surprise, à peine venais-je de sortir de chez moi que je recevais un SMS de sa part, pour me dire que je pouvais venir. Alors je n'allais pas me faire prier plus longtemps et j'arrivais très vite au pied de son immeuble. Auparavant, il s'était inquiété de savoir si je me rappelais de son adresse et moi de lui répondre : il y a des adresses qui ne s'effacent jamais de la mémoire , et le sien en faisait partie. Il me débloquait sa porte d'entrée, m'ayant surveillé depuis sa fenêtre . L'ascenseur m'emmenait au septième étage qui allait être mon septième ciel à moi car je savais pertinemment que je vivrais un bonheur total.

La porte s'ouvrait sur moi et je découvrais l'être cher contre qui j'allais me coller pour lui accorder une pelle généreuse , nos deux corps ne faisant qu'un. J'avais laissé tomber mon sac à dos pour libérer mes mains qui avaient envie de s'affoler sur ce corps généreux. Alors mes caresses allaient être intenses comme si je voulais goûter à tous ses fruits de l'amour. Il était nu sous son peignoir car il m'attendait ainsi et je n'allais pas m'en plaindre. J'allais câliner un peu ses fesses potelées, si délicieuses au toucher que je ne pouvais résister plus longtemps . Son corps m'avait déjà électrisé. Merci mon coeur de m'avoir permis de te retrouver. La chaleur était entrée dans mon corps. Et nous allions regagner la chambre où je passais en premier . Très vite il faisait glisser son peignoir et s'étendait sur le lit où le soleil nous attendait. Il me regardait avec des yeux remplis d'envie. Je n'arrivais pas à me dévêtir totalement sans que je m'arrête pour savourer déjà une partie de son corps. Mes lèvres suçaient ses seins que je savais très sensibles, et ma bouche allait pianoter par petites touches sur sa chair pour regagner son sexe qui était déjà dressé. J'allais l'engouffrer dans ma bouche pour le sucer avec un bonheur non dissimulé , le désir était trop intense. Et je peux dire que je suis très gourmand. Alors le tout cumulé ne pouvait être que le prémisse d'un plaisir total à venir. Je le lâchais quelque peu pour finir d'achever mon déshabillage. Et une fois nu, j'allais me coucher sur lui pour lui promulguer mes caresses suivantes, à savoir mes baisers ardents sur sa bouche qui ne réclamait que ça. Et le frottement de nos queues l'une sur l'autre comme il aimait. Les ébats étaient lancés.

Chauds, chauds, nos ébats allaient être et je n'en doutais à aucun moment. Je susurrais la pointe de ses seins bien fermes comme il adorait tant. Son corps m'appartenait totalement comme il le souhaitait . Et bien entendu j'allais descendre rapidement vers son sexe qui était toujours dressé pour l'engloutir dans ma bouche qui n'attendait que ça. Puis je lâchais ce fruit défendu pour aller retrouver , sa chatte où ma langue avait envie de s'y attarder. Je lui soulevais ses fesses pour y accéder plus facilement. Ma langue gourmande se régalait de pénétrer ce séant et lui aussi appréciait ce moment. Mes doigts tout aussi coquins allaient accélérer son plaisir en forçant l'entrée de sa caverne avec un, puis deux doigts que j'avais salivé quelque peu de temps avant. Mais je voulais lui offrir encore plus, alors je lui demandais de se mettre sur le ventre alors là, ses fesses potelées s'offraient à moi que j'allais écarter pour faire pénétrer ma langue encore plus profond. Et mes doigts allaient , aussi gourmands , franchir la grille du parc de son corps généreux. Mais j'allais faire plus en me couchant sur lui et en décalottant mon gland pour le frotter contre sa chatte et glissant mes mains sur son corps, elles allaient rejoindre la pointe de ses seins qu'il aimait que je les triture. Et mes lèvres allaient lui offrir des baisers brûlants sur le dos de son corps qui m'était offert, tout comme dans son cou tendre. Tout était désirable chez lui.

Et je lui demandais de revenir sur moi comme j'aimais tant. Et il le faisait avec le plus de souplesse possible et sa queue toujours tendue venait chatouiller quelque peu ma chatte, ce qui m'excitait un maximum. J'avais très envie de lui et il allait m'accorder ce plaisir comme je ...

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