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LE BONHEUR EST DANS LE PRE ( 2)

Publié par : miche1827 le 18/06/2019

Le lendemain de mon aventure champêtre qui m'avait particulièrement mis en appétit, je décidais de passer à l'attaque sur mes livreurs. Lors de leur passage de la veille, je leur avait passé commande en précisant que s'ils ne me voyaient pas au bout du chemin ils n'avaient qu'a la déposer sur la table de la grande pièce qui servait à la fois de séjour et de cuisine, car je prévoyais de m'absenter dans la matinée. Affamée par la petite séance de la veille une idée avait germé dans ma tête. Une heurte avant leur passage je me préparais. Je me vêtis d'un déshabillé de voile noir transparent bordé de duvet de cygne sous lequel je portais des dessous de dentelle très suggestifs : string, soutient gorge demi corbeille laissant les pointes de mes seins apparentes et bas résille à large rebords de dentelle, mules de velours noir. Je fermais à demi les volets afin de maintenir la pièce dans la pénombre ; seul un rayon de soleil devait, au moment opportun éclairer le vaste divan du séjour. Pour patienter je me mis à feuilleter une revue érotique périodique à laquelle j'étais abonné. Au bout d'un bon moment, j'entendis le klaxon de la camionnette. Aussitôt j'abandonnais ma revue sur la table, largement ouverte sur une page illustrée et m'allongeais sur le divan, de trois quart, les reins cambrés, tournant légèrement le dos à la porte . Je laissais les pans du déshabillé largement ouverts sur mon corps bronzé. Les paupières mi closes, semblant assoupi, j'attendis.


Quelques minutes passèrent, puis j'entendis des pas sur les gravillons de la cour. On frappa discrètement et devant l'absence de réponse la porte s'ouvrit doucement et comme je l'avait prévu, un rayon de lumière inonda le divan sur lequel j'étais allongé. A travers mes cils, j'observais le visiteur. C'était le jeune commis ; il fit quelques pas dans la pièce et découvrit le spectacle. Surpris il s'immobilisa. Je fis alors mine de m'éveiller, je m'étirais langoureusement tout en bombant le torse ce qui eu pour effet d'ouvrir largement le déshabillé sur ma petite poitrine hormonée. Tétanisé le jeune garçon n'osait plus bouger. Tournant la tête vers lui je feignis la surprise et lui adressais un sourire.

- Bonjour, excusez moi je m'étais endormi
- …
- Vous avez ma commande ?

Il me tendit un petit paquet tout en balbutiant un timide bonjour. Je me levais et me dirigeais vers lui , tendis le bras pour m'emparer du colis tout en m'arrangeant pourque ma main au passage frôle doucement la sienne. Il me dévorait des yeux. Posant la commande , je m'approchais de lui et lui adressais un sourire ravageur et encourageant. Nos corps étaient très proches, il avança timidement la main et la posa sur ma hanche dénudée. Je me rapprochais un peu plus et me plaquais à lui. J'écrasais mon bas ventre sur son sexe durcit et gonflé qui ne demandait qu'à jaillir de son pantalon. Approchant mon visage du sien, je collais ma bouche à la sienne et ma langue força le passage entre ses lèvres. Nos langues se mêlèrent dans un baiser fougueux. Il haletait, ses mains impatientes parcouraient mon corps, pétrissaient mes fesses. Ma main s'incrustant dans son pantalon s'était emparée de son sexe raide comme un bâton.


C'est alors que la voix du boucher qui s'était impatienté se fit entendre et que la porte s'ouvrit sous sa poussée.

- Jacques qu'est-ce que tu…

Il ne termina pas sa phrase interloqué par le spectacle qui s'offrait à sa vue. Le jeune commis se détacha de moi, honteux et rougissant.

- Eh bien on ne s'embête pas ici !!
- Et pourquoi pas, ripostai je le toisant avec provocation, Il ne tient qu'à vous de vous joindre à nous.

Je fis doucement glisser le déshabillé sur mes épaules et me retrouvais pratiquement nu devant les deux hommes. Le bouche ...

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Mots-clés : Jeunes, Mûrs, Fétichisme, Européen(s), Trav